Quitter rapidement
Fondé en 1932 par Yvonne Maisonneuve, Le Chaînon est un centre d’hébergement pour femmes en difficulté qui offre une grande diversité de services.
Les femmes arrivant au Chaînon sont pour la majorité dans une situation de grande précarité et y trouvent l’aide et le soutien pour reprendre des forces, se reconstruire et envisager l’avenir avec optimisme.
Aux employeurs et leurs employé.e.s dans le cadre de l’article 51.16, de la loi modernisant le régime de santé et de sécurité au travail.
Aux étudiant.e.s dans les établissements d’enseignement post-secondaire; pour tous les jeunes de 18 à 30 ans.
Cet atelier de prévention à la violence conjugale est d’une durée de 90 minutes. Il est toutefois possible de demander un ajustement afin d’avoir l’essentiel du programme pour une durée de 60 minutes, si cela correspond davantage aux besoins ou contraintes de votre milieu de travail.
Le programme de prévention RÉAGIR a comme objectif de permettre à chaque participant.e. de mieux identifier, comprendre et d’agir en contexte de violence conjugale. Que ce soit pour un cheminement personnel ou pour aider un membre de votre équipe de travail. Il permet également de planifier un encadrement adéquat, au sein du milieu de travail, dans le but d’accompagner et de protéger un ou une employé.e au prise avec un contexte de violence conjugale.
Caroline Paradis est une mère de 4 enfants. Au cours de sa vie, elle a vécu différentes formes de violence conjugale. Son cheminement personnel l’a amené à réfléchir au problème de cette violence et a suscité un grand désir de contribuer à la réalisation d’un réel changement dans la société. En 2021, elle décide de se lancer dans une aventure sportive, afin de soutenir les victimes de violence conjugale, de briser le silence, créer une chaîne de solidarité à travers la province et permettre une prise de conscience sur le vécu de ces victimes de violence conjugale. Au cours de cette aventure nommée ; Le Défi Caro à vélo, Caroline a pédalée 4 200 km pendant 42 jours, en autonomie, beau temps mauvais temps. Cette épreuve sur la route lui permettait de partager de précieux apprentissages et réflexions, en toute transparence, et de faire le parallèle entre les défis d’une telle aventure et les défis qu’une victime de violence conjugale doit affronter. Un coup de pédale à la fois, un jour à la fois.
Lorsque l’idée de ce projet a germé, c’était sans savoir que l’année 2021 allait être une des plus lourde en termes de victime de féminicide. Seulement au cours de son parcours, trois femmes ont perdu la vie de cette triste façon.
Formation gratuite en format vidéo, d’une durée d’environ une heure, offerte en collaboration avec Suzanne Zaccour. La formation aborde la reconnaissance de la violence conjugale, ses signes précurseurs et sa normalisation dans notre société. Elle inclut des effets visuels stimulants et des scènes de films et séries populaires pour rendre le tout dynamique et attrayant pour les jeunes.
Cette formation a été développée pour une expérience en ligne dynamique et enrichissante.
Le format virtuel permet non seulement de rejoindre un plus grand nombre d’étudiant.e.s, mais aussi de proposer une expérience unique et visuellement stimulante, incluant la diffusion d’extraits de films qui participent à banaliser la violence conjugale. À noter: il ne s’agit pas d’un simple partage de PowerPoint. Les effets visuels sont particulièrement appréciés par les jeunes.
La flexibilité offerte par le format en ligne permet aux établissements d’utiliser la formation de diverses façons : en classe, en assemblée, lors d’événements spéciaux, ou encore de façon individuelle.
Suzanne Zaccour est une autrice et chercheuse spécialisée en matière de violences faites aux femmes. Elle est candidate au doctorat en droit à l’Université d’Oxford, où elle travaille sur le traitement juridique des agressions sexuelles. Son travail sur la banalisation des violences sexuelles dans le langage juridique a été cité par la Cour suprême du Canada. Elle est l’autrice de l’essai La fabrique du viol, publié en 2019 chez Leméac.